Opéra – Iphigénie en Tauride
Que dire de ce spectacle (Tragédie lyrique du 18ème siècle)... Tout au moins qu’il ne laisse pas indifférent.
Tout d’abord surprise, grande surprise de découvrir sur les billets que cet Opéra se joue à Garnier (et non pas comme souvent à Bastille) ; entrer dans cette majestueuse salle est toujours un plaisir rare pour les yeux ; ensuite Etonnement, voire même stupeur d’entendre la foule huer le metteur en scène et les danseurs. Cette mise en scène de Krzysztof Warlikowski est certes déroutante car à la lecture du livret de d’Iphigénie on ne s’attend pas tout à fait à découvrir une scène qui ressemble à un genre d’hospice (pour ne pas dire mouroir). C’est donc dans une atmosphère un peu sordide que s’ouvre le rideau.
Malgré les genoux dans le siège de devant, et malgré cette mise en scène qui peut paraître pesante, très vite l’on se sent dans un climat beaucoup plus léger. L’Orchestre et le Chœur (sous la direction musicale de Marc Minkowski) et les solistes nous plongent dans un bonheur musical absolu jusqu’à la scène finale.
Tout d’abord surprise, grande surprise de découvrir sur les billets que cet Opéra se joue à Garnier (et non pas comme souvent à Bastille) ; entrer dans cette majestueuse salle est toujours un plaisir rare pour les yeux ; ensuite Etonnement, voire même stupeur d’entendre la foule huer le metteur en scène et les danseurs. Cette mise en scène de Krzysztof Warlikowski est certes déroutante car à la lecture du livret de d’Iphigénie on ne s’attend pas tout à fait à découvrir une scène qui ressemble à un genre d’hospice (pour ne pas dire mouroir). C’est donc dans une atmosphère un peu sordide que s’ouvre le rideau.
Malgré les genoux dans le siège de devant, et malgré cette mise en scène qui peut paraître pesante, très vite l’on se sent dans un climat beaucoup plus léger. L’Orchestre et le Chœur (sous la direction musicale de Marc Minkowski) et les solistes nous plongent dans un bonheur musical absolu jusqu’à la scène finale.
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