Restaurant– Le Candide

Que dire du Candide ?
Première chose le Candide possède une grande et belle terrasse (couverte l’hiver bien sûr !)
La seconde (mais pas la moindre) c’est que le lieu a très récemment changé de propriétaire (depuis le début 2008). Et ça c’est plutôt une bonne nouvelle, une très bonne nouvelle.
Après avoir fait ses armes à la Gare puis chez Meating, le nouveau patron des lieux Ludovic a enfin ouvert son propre établissement.
Sa signature pour l’établissement est : « Candide… mais il faut cultiver notre jardin ». Cet adage est un assez fidèle résumé du personnage, de son sens de l’accueil, du service et aussi de la cuisine.
L’endroit est à la fois sobre et raffiné, on peut le qualifier de brasserie chic.
« Brasserie » parce qu’il a la proximité avec le patron, la carte traditionnelle attendue dans une brasserie de quartier (Du tartare à l’andouilette) mais aussi de délicieux plats du jour !
« Chic » parce que pas guindé mais que l’on sent quand même une certaine recherche, juste ce qu’il faut pour se sentir bien. Le lieu est plutôt élégant, le mobilier et la vaisselle à la fois simple et sophistiqué.
Et puis surtout il y a Ludovic le patron qui s’affaire de table en table, toujours très présent auprès de ses clients, pour savoir si tout se passe bien, s’il y a des choses à améliorer… bref un patron qui cultive son jardin.
Un lieu à découvrir en 2008, parlez en à vos amis !

Le Candide
6 avenue Parmentier
75011 Paris (juste à côté de la Mairie du 11ème)
Tel : 01 43 79 11 75
www.candide.eu

Brunch – Durand Dupont

La bonne surprise de la semaine
Pendant de nombreuses années l’établissement était remplis de serveurs, hôtes et hôtesses aux allures de mannequins tous droit sortis de l’agence Elite (ou d’autres agences peut être ?). L’accueil chaleureux n’était malheureusement pas toujours au rendez-vous.
Désormais l’ambiance du brunch dominical est beaucoup plus convivial, l’accueil est agréable, le buffet tout aussi agréable à regarder qu’à dégusté et les serveurs font attention à vous.
Bref l’endroit est redevenu tout à fait agréable à fréquenter !
Si vous décidez d’y aller en groupe pensez à réserver !

14 place du Marché
92200 Neuilly sur Seine
Tel : 01 41 92 93 00

Brasserie – Café Brunel

Petite adresse découverte lors d’un déjeuner. Ambiance conviviale, petite brasserie de quartier avec une cuisine de qualité et un service avec le sourire ce qui n’enlève rien !

Café Brunel
2 rue Brunel
75016 Paris

Restaurant – Market

De prime abord l’endroit parait à la fois confidentiel (devanture très discrète) et branché. Le cadre est à la fois sobre et ethnique et convient tout aussi bien pour un déjeuner d’affaires (petit espace isolé pour une dizaine de personnes) que pour un dîner entre amis.
La carte est relativement variée et constituée de déclinaisons de saveurs. La « base » de la carte est plutôt française ou italienne le tout relevé d’épices venues d’Asie ou d’Orient.
L’endroit est agréable mais l’addition reste relativement élevée.

Market
15 avenue de Matignon
75008 PARIS

Meilleurs Voeux 2008

Rétrospective 2007

Versailles - Galerie des Glaces après restauration


Vierge noire de Częstochowa


Cracovie


Varsovie


Hong-Kong vu du Peak


Baie de Hong-Kong

Opéra – Tannhäuser de Richard Wagner

Qui a dit que les Opéra de Wagner qui durait plus de 4h (avec entractes bien sûr) était rasoir. Que celui qui s’est exprimé se taise à jamais ou plutôt revisite Tanhaüser avec Seiji Ozawa ou plutôt le Maestro Ozawa devrais je dire avant de réémettre une quelconque opinion sur ce chef d’œuvre.
Il faut toujours faire une petite critique (ça fait beaucoup plus chic ;-) alors disons que le seul bémol de la soirée était la grève du personnel chargés de décors et de l’éclairage. Bref la représentation a eu lieu avec une mise en scène minimaliste (dommage car nous attendions avec délectation les surprises que nous réservaient Robert Carsen) néanmoins cela ne m’a pas semblé du tout gênant.
Dès le long prélude c’est un véritable enchantement, Osawa dirige à la perfection et surtout pendant plus de 3h30 sans partition !!! Cela relève de l’exploit.
Je ne m’étendrais pas davantage car il y a tant à dire que les mots me manquent. Ce fut un moment d’émotion et de joie très intense.
La soirée s’est terminée (alors qu’il s’agissait pourtant d’une soirée AROP) avec une salle debout pour saluer Maître Ozawa.